Je m'appelle Marine et je suis originaire de Brest, dans l'Ouest de la France. Je suis spécialisée en responsabilité sociétale des entreprises, à Conakry, la capitale de la Guinée.

Peux-tu nous présenter ton parcours professionnel ?

Après l'ISTOM, j'ai fait un stage, en Côte d'Ivoire, dans la filière de la noix de cajou, à l'Agence française de développement, le bras droit de la coopération économique française. Ça m'a vraiment donné le goût pour l'Afrique de l'Ouest.

J'ai donc continué à les aider sur la base d'un volontariat économique, cette fois-ci, en Guinée, pays que je n'ai plus jamais quitté. J'y ai découvert un petit peu l'aide au développement sur des projets agricoles dans le secteur public.

Puis, j'ai basculé dans le privé. J'ai travaillé avec un ISTOMien dans un bureau d'éthique spécialisé en étude d'impact social. C'est grâce à cette expérience que j'ai appris mon métier en responsabilité sociétale des entreprises et que je l'ai appliqué au sein de différents projets publics et privés.

Quels souvenirs gardes-tu de tes années étudiantes à l'ISTOM ?

Un souvenir joyeux. Une période de connaissances. De belles rencontres. Des bons moments en résumé. J'ai été très investie dans la vie associative et c'est peut-être ce que j'ai préféré à l'ISTOM. J'étais secrétaire pour l'association d'intégration. J'étais également présidente de la désintégration en dernière année. J'ai aussi accompagné la création du Fonds monétaires des étudiants (FMEI), qui est une association qui a pour objectif l'accompagnement des autres associations dans la budgétisation de leurs activités.